[Au milieu du silence.]

Si je ne suis pas né parmis les cimes, celles-ci m’appellent pourtant quotidiennement.

Le calme et la grandeur de l’altitude font des sommets les seuls endroits où je parviens à me sentir vivant.

Naturellement, à chaque visites que je m’octroie là haut sont lot d’images.

Voici ce qu’est [au milieu du silence].
Le receuil de mes souvenirs alpins.
Des moments, émotions, rencontres qui me sont chers.
Une paisibilité sincère.

Enfaite, ce que j’aime là haut, c’est que j’y retrouve des sensations que j’avais jeune. Je m’y sens libre, loin du vacarme moderne.
Là haut, tout semble plus simple, du confort jusqu’à mon existence elle même.
Là haut je suis plus léger, plus petit.

Là haut je ne suis rien.
Et c’est étrangement réconfortant.